💬 “Je pensais gagner 5 000 € par mois. En vrai, il m’en reste 2 800… Où est passé le reste ?”
Bienvenue dans la réalité (souvent brutale) de la fiscalité du kiné libéral.
Tu viens de t’installer ou tu prépares ton lancement ? Tu as entendu parler de micro-BNC, de régime réel, de charges déductibles, mais tout ça te semble encore flou ? Tu n’es pas seul.
⚠️ Trop de jeunes kinés découvrent trop tard que leurs revenus ne sont pas ce qu’ils croyaient, simplement parce qu’ils n’ont pas anticipé l’impact fiscal.
Mais la bonne nouvelle, c’est que tu peux reprendre le contrôle dès maintenant.
Dans ce guide ultra-pratique, tu vas apprendre à :
- choisir le régime fiscal le plus avantageux pour ton activité (micro-BNC ou BNC réel),
- comprendre comment sont calculés tes impôts et tes cotisations sociales,
- savoir exactement ce que tu peux déduire de tes revenus,
- et surtout, découvrir les meilleurs leviers pour optimiser ta fiscalité dès le départ.
🚀 Objectif : garder plus d’argent à la fin du mois, sans stress, ni mauvaise surprise.
Prêt à faire de la fiscalité un atout — et plus un cauchemar ? Alors suis le guide 👇
Comprendre la fiscalité d’un kinésithérapeute libéral
S’installer en libéral, c’est un grand pas vers l’autonomie. Mais qui dit liberté, dit aussi responsabilités… notamment fiscales. Pour éviter les mauvaises surprises, mieux vaut comprendre comment fonctionne la fiscalité d’un cabinet de kinésithérapie dès le départ.
Dans cette première partie, on pose les bases : pourquoi c’est si important, ce que dit la loi, et ce que tu dois faire concrètement en tant que professionnel de santé libéral.
Pourquoi la fiscalité en kiné est un enjeu clé à l’installation ?
Quand tu deviens kiné libéral, tu n’es plus salarié. Tu changes de statut, et donc de logique de revenus. Ton chiffre d’affaires ne représente plus ton “salaire” : c’est ton chiffre brut, duquel il faut retirer toutes les charges, cotisations, et impôts.
👉 En moyenne, un kiné libéral reverse environ 45 % de ses revenus en charges sociales, fiscales et professionnelles.
👉 Le reste constitue ton bénéfice net, sur lequel tu seras imposé à l’impôt sur le revenu.
Mieux tu comprends la fiscalité, mieux tu peux anticiper et piloter tes finances.
C’est un point crucial pour :
- éviter les erreurs de déclaration (souvent coûteuses),
- savoir combien mettre de côté pour les charges,
- optimiser ta rémunération en fonction de ton régime.
Les obligations fiscales d’un kiné libéral
Dès que tu exerces en libéral, tu as des obligations déclaratives. Elles varient légèrement selon ton régime fiscal, mais voici les bases communes à tous les kinés installés :
📌 Déclaration URSSAF
Chaque mois ou trimestre, tu déclares à l’URSSAF ton chiffre d’affaires via ton compte en ligne. C’est à partir de ce chiffre que seront calculées tes cotisations sociales.
📌 Déclaration à la CARPIMKO
En tant que kiné libéral, tu es affilié d’office à la CARPIMKO, la caisse de retraite et de prévoyance des auxiliaires médicaux.
C’est obligatoire dès le 1er jour d’exercice, et l’inscription se fait automatiquement lors de la création de ton entreprise.
Chaque année, tu dois transmettre à la CARPIMKO ta déclaration de revenus professionnels, afin que tes cotisations soient calculées correctement.
Ces cotisations couvrent :
- ta retraite de base,
- ta retraite complémentaire,
- ton assurance invalidité-décès.
💡 Astuce : Ces montants sont souvent sous-estimés par les jeunes installés. Pourtant, ils représentent un poste de dépense majeur dans la fiscalité du kiné libéral, à prévoir au même titre que l’URSSAF.
📌 Déclaration fiscale annuelle
Tous les ans, tu déclares tes revenus professionnels à l’administration fiscale via le formulaire 2042 C PRO.
👉 En micro-BNC, c’est simple.
👉 En déclaration contrôlée, tu ajoutes une liasse 2035 avec le détail de tes recettes et charges.
📌Cotisation Foncière des Entreprises (CFE)
La CFE est une taxe locale qui est due chaque année, même si tu exerces à domicile. Elle dépend de la commune où tu déclares ton activité.
📌 Adhésion à une AGA
Elle n’est pas obligatoire, mais elle te permet d’éviter une majoration de 25 % sur ton revenu imposable. Elle est indispensable en régime réel si tu veux optimiser ta fiscalité.
Quelle différence entre fiscalité et comptabilité ?
La confusion est fréquente, mais ces deux notions sont bien distinctes :
Fiscalité | Comptabilité |
Ensemble des règles fiscales que tu dois suivre (impôts, URSSAF, CFE…) | Suivi quotidien de ton activité financière (recettes, dépenses, marge, rentabilité) |
Sert à déclarer et payer | Sert à piloter ton activité |
Obligatoire selon ton statut | Indispensable pour comprendre où va ton argent |
En résumé : la comptabilité est ton outil de gestion, la fiscalité est ton obligation légale. Les deux sont complémentaires. Un bon suivi comptable simplifie toujours ta déclaration fiscale.
Les régimes fiscaux possibles pour un kiné
Quand tu exerces en tant que kinésithérapeute libéral, tu relèves du régime fiscal des Bénéfices Non Commerciaux (BNC). À l’intérieur de cette catégorie, il existe deux régimes principaux : le micro-BNC et la déclaration contrôlée.
Le choix entre ces deux régimes détermine :
- Comment tu déclares tes revenus
- Les charges que tu peux déduire
- Le niveau de complexité comptable à gérer
Le régime micro-BNC
C’est le régime le plus simple, souvent utilisé à l’installation.
Conditions d’accès
Tu peux bénéficier du régime micro-BNC si ton chiffre d’affaires ne dépasse pas 77 700 € sur l’année civile (seuil 2025). Si tu t’installes en cours d’année, ce seuil est ajusté au prorata temporis.
Fonctionnement
Tu n’as pas besoin de comptabilité détaillée, seulement d’un livre de recettes. Chaque année, tu déclares ton chiffre d’affaires brut sur le formulaire 2042 C PRO.
L’administration fiscale applique automatiquement un abattement de 34 %, considéré comme représentant tes charges professionnelles. Tu es donc imposé sur 66 % de ton chiffre d’affaires.
Avantages
✅ Très simple à gérer, aucun expert-comptable obligatoire
✅ Idéal si tu as peu de frais professionnels
✅ Pas de liasse 2035 à remplir
Limites
❌ Tu ne peux pas déduire tes frais réels (loyer, matériel, rétrocessions, etc.)
❌ Si tes charges dépassent 34 %, tu es imposé sur des revenus que tu n’as pas réellement gagnés
Le régime de la déclaration contrôlée (ou BNC réel)
Ce régime s’applique automatiquement au-delà du seuil des 77 700 €, ou sur option si tes charges sont importantes.
Fonctionnement
Tu déclares chaque année :
- Ton chiffre d’affaires encaissé
- Tes charges professionnelles réelles
- Ton résultat net (bénéfice)
La déclaration se fait via la liasse 2035, en plus du formulaire 2042 C PRO.
Tu dois aussi tenir une comptabilité complète : journal de recettes, registre des achats, grand livre, bilan, etc.
Avantages
✅ Tu déduis 100 % de tes frais professionnels (matériel, véhicule, rétrocession, etc.)
✅ Tu déclares ton revenu réel, donc tu ne paies que sur ce que tu as vraiment gagné
✅ Possibilité d’optimisation fiscale avec un comptable
Inconvénients
❌ Gestion plus lourde (comptabilité complète)
❌ Nécessite un accompagnement pro (expert-comptable ou logiciel adapté)
❌ Obligation de respecter les délais et obligations déclaratives (URSSAF, AGA, impôts)
Comment choisir entre micro-BNC et déclaration contrôlée ?
💡 Astuce : Si tes frais professionnels dépassent 34 % de ton chiffre d’affaires, la déclaration contrôlée est généralement plus avantageuse.
Situation | Option recommandée |
Si tes charges < 34 % de ton chiffre d’affaires (CA) | Le micro-BNC est souvent plus intéressant et plus simple |
Si tes charges > 34 % de ton chiffre d’affaires (CA) | Le régime réel te permet d’économiser sur l’impôt |
Bon à savoir :
- Tu peux opter pour le régime réel même si tu ne dépasses pas le seuil.
- L’option se fait en début d’année et est valable 1 an minimum, renouvelable automatiquement.
- Il est possible de revenir au micro-BNC, mais sous conditions.
Exemple concret
Julie s’installe en tant que kiné libérale. Elle prévoit 60 000 € de chiffre d’affaires annuel, et 25 000 € de charges (loyer, matériel, rétrocessions…).
👉 En micro-BNC : elle est imposée sur 66 % de 60 000 €, soit 39 600 €
👉 En déclaration contrôlée : elle est imposée sur 60 000 € – 25 000 € = 35 000 €
✔ Conclusion : Julie a tout intérêt à opter pour la déclaration contrôlée
Le cas particulier des kinés remplaçants
Si tu débutes comme kiné remplaçant, tu es également considéré comme un travailleur indépendant. Cela signifie que les règles fiscales s’appliquent de la même manière que pour un kiné titulaire, avec quelques spécificités.
💰 Rétrocessions et déclaration des revenus
Les honoraires que tu encaisses en tant que remplaçant doivent être déclarés dans leur intégralité, même s’ils font l’objet d’une rétrocession au titulaire.
👉 Exemple : tu factures 3 000 € sur le mois, dont 1 000 € sont reversés en rétrocession.
→ Tu déclares bien 3 000 € en recettes, et déduis les 1 000 € comme une charge dans ta comptabilité (si tu es en déclaration contrôlée).
📊 Le bon régime à adopter en remplacement
- Si tes recettes annuelles restent sous 77 700 €, tu peux opter pour le micro-BNC, plus simple.
- Si tu enchaînes les remplacements ou que tu as beaucoup de frais, le régime réel peut être plus avantageux.
💡 À noter : les cotisations URSSAF et CARPIMKO s’appliquent même en remplacement, dès le début de ton activité.
Les impôts et charges du kiné libéral
En tant que professionnel de santé en libéral, tes revenus sont soumis à plusieurs types de prélèvements : cotisations sociales, impôt sur le revenu et taxes locales.
Comprendre ce que tu dois réellement payer te permet :
- d’éviter les mauvaises surprises
- de mieux gérer ta trésorerie
- et de savoir ce que tu peux légalement déduire 💡
Comment fonctionne l’imposition des revenus ?
Que tu sois en micro-BNC ou en déclaration contrôlée, tu dois déclarer tes revenus à l’administration fiscale via le formulaire 2042 C PRO, chaque année, entre avril et mai.
En micro-BNC
L’administration applique un abattement forfaitaire de 34 % pour frais professionnels. Tu es donc imposé sur 66 % de ton chiffre d’affaires annuel.
Exemple :
Chiffre d’affaires annuel = 50 000 €
👉 Revenu imposable = 50 000 × 66 % = 33 000 €
En déclaration contrôlée
Tu déduis tes charges réelles (loyer, matériel, cotisations, rétrocessions…) et déclares ton bénéfice net.
Exemple :
Chiffre d’affaires = 70 000 €
Charges professionnelles = 28 000 €
👉 Revenu imposable = 42 000 €
Barème progressif de l’impôt
L’impôt sur le revenu est calculé selon des tranches progressives, comme pour tout particulier.
Voici le barème 2025 applicable (hors parts et réductions) :
✔ Jusqu’à 11 294 € : 0 %
✔ De 11 295 € à 28 797 € : 11 %
✔ De 28 798 € à 82 341 € : 30 %
✔ De 82 342 € à 177 106 € : 41 %
✔ Au-delà de 177 106 € : 45 %
💡 Pour ne pas subir une majoration de 25 % sur ton revenu imposable, tu dois adhérer à une Association de Gestion Agréée (AGA). L’adhésion coûte entre 200 et 300 € par an, mais elle est vite rentabilisée.
Quelles sont les charges déductibles ?
Si tu es au régime réel, tu peux déduire un grand nombre de frais professionnels. Voici les principaux postes de charges acceptés par l’administration :
- 🏢 Frais de cabinet : loyer, électricité, chauffage, ménage
- 🛠 Fournitures et matériel : tables, appareils, consommables
- 🛡 Assurances pro : RCP, mutuelle, prévoyance
- 🚗 Frais de déplacement : carburant, parking, péages, indemnités kilométriques
- 📡 Frais de communication : téléphone, internet, site web
- 🧾 Frais bancaires et comptables
- 🤝 Rétrocessions versées à un remplaçant
- 🏛 Cotisations professionnelles : Ordre, syndicats, AGA, URSSAF, retraite (CARPIMKO)
✅ Tous ces frais doivent être justifiés par une facture et enregistrés dans ta comptabilité.
La TVA est-elle applicable en cabinet de kiné ?
Non. En tant que kiné, tu es exonéré de TVA sur tous les actes de soins, qu’ils soient conventionnés ou non.
👉 Tu n’as donc pas à facturer la TVA, ni à la collecter ou la reverser.
Exceptions :
- Si tu proposes des prestations hors soins (coaching, ateliers bien-être, formations), la TVA peut s’appliquer.
- Dans ce cas, il faudra opter pour une comptabilité mixte, avec une séparation claire entre activités exonérées et soumises à TVA.
Et la Cotisation Foncière des Entreprises (CFE) ?
La CFE est une taxe locale obligatoire payée chaque année. Elle est calculée en fonction :
- de la commune où tu exerces
- de la valeur locative de ton local
👉 Tu es exonéré de CFE la première année civile d’exercice. Ensuite, elle est due chaque année.
💰 Montant indicatif : entre 300 € et 1 000 € selon les communes
Optimiser sa fiscalité dès le début
Comprendre comment fonctionne la fiscalité, c’est une chose. Mais savoir comment l’optimiser intelligemment dès tes premiers mois d’activité peut faire toute la différence sur le long terme.
L’objectif ici n’est pas de “tricher”, mais d’utiliser les leviers à ta disposition pour :
- éviter de payer plus que nécessaire,
- préserver ta trésorerie,
- sécuriser ton activité.
Bonnes pratiques pour limiter la pression fiscale
Voici 5 réflexes à adopter dès ton installation :
1. Choisir le bon régime fiscal
Ce choix est fondamental. Si tu as peu de charges, le micro-BNC est pratique. Si tu investis beaucoup dans ton activité, le régime réel permet de déduire plus de frais.
💡 Fais une simulation comparative pour ne pas te tromper : un mauvais choix fiscal peut te coûter des milliers d’euros.
2. Tenir une comptabilité rigoureuse
Même en micro-BNC, garde une trace précise de tes recettes et dépenses.
En régime réel, la comptabilité devient indispensable pour :
- justifier tes charges déductibles,
- anticiper les cotisations,
- piloter ton revenu réel.
Tu peux utiliser un logiciel de comptabilité dédié (Indy, Georges…) ou faire appel à un expert-comptable.
3. Adhérer à une Association de Gestion Agréée (AGA)
Cette adhésion te permet :
- d’éviter la majoration de 25 % de ton revenu imposable,
- de bénéficier de vérifications annuelles,
- d’accéder à des conseils et formations.
💡 Elle coûte entre 200 et 300 € par an, et c’est déductible fiscalement.
4. Déduire intelligemment toutes tes charges
Pense à tout ce que tu peux légalement déduire :
- téléphone, internet, matériel professionnel,
- voiture personnelle utilisée à titre pro (indemnités kilométriques),
- abonnements, logiciels, formations, etc.
✔ Chaque euro déduit réduit ton revenu imposable, donc ton impôt.
H4 : 5. Utiliser les dispositifs fiscaux avantageux et repérer les zones concernées
Certaines zones géographiques ouvrent droit à des exonérations fiscales significatives, souvent cumulables avec des aides à l’installation :
- ZFU (Zone Franche Urbaine) : exonération totale d’impôt pendant 5 ans, puis partielle pendant 3 ans
- FRR (France Ruralités Revalorisation) : même principe que la ZFU
- ZRR (Zone de Revitalisation Rurale) : exonérations pendant plusieurs années
👉 Ces dispositifs concernent souvent les zones sous-dotées et peuvent rendre ton installation bien plus avantageuse sur le plan fiscal.
Pour savoir si ton futur lieu d’exercice est éligible : utilise la carte officielle mise à disposition par l’administration fiscale
👉 Consulter les zones éligibles sur l’Observatoire des territoires
Ce lien te permet de :
- chercher ta commune,
- vérifier les dispositifs applicables (ZFU-TE, ZRR, QPV…),
- anticiper les exonérations fiscales possibles.
💡 Astuce : Une installation dans une zone éligible peut représenter jusqu’à 100 % d’impôt en moins pendant 5 ans..
Faut-il se faire accompagner par un comptable ?
Ce n’est pas une obligation, mais c’est un véritable levier de performance, surtout si :
- tu es en déclaration contrôlée,
- tu veux être serein sur ta fiscalité,
- tu préfères te concentrer sur ton cœur de métier.
Un bon expert-comptable peut :
- t’aider à optimiser ton régime fiscal,
- t’éviter les erreurs de déclaration,
- te faire gagner du temps et de l’argent.
💡 Tu peux aussi démarrer seul avec un logiciel (ex : Indy), puis te faire accompagner plus tard.
Les erreurs fiscales fréquentes à éviter
Voici les pièges classiques à éviter :
❌ Choisir un régime inadapté sans comparaison
❌ Ne pas adhérer à une AGA (→ majoration de 25 %)
❌ Confondre chiffre d’affaires et bénéfice
❌ Oublier de déclarer ses revenus à l’URSSAF ou à la CARPIMKO
❌ Ne pas anticiper la CFE
❌ Négliger les justificatifs de dépenses
Le bon réflexe
À chaque début d’année, prends 1 à 2 heures pour :
- revoir ton chiffre d’affaires,
- estimer tes charges,
- ajuster ton régime fiscal ou demander conseil.
✔ Ce petit effort peut t’économiser des centaines (voire des milliers) d’euros chaque année.
Conclusion : ce qu’il faut retenir sur la fiscalité du kiné libéral
La fiscalité en libéral ne doit plus être un sujet flou ou anxiogène. En tant que kinésithérapeute, tu peux (et tu dois) maîtriser ton environnement fiscal pour piloter ton activité sereinement.
✅ Tu as maintenant les clés pour :
- choisir le bon régime fiscal (micro-BNC ou déclaration contrôlée),
- anticiper tes charges (URSSAF, retraite, CFE…),
- optimiser ta fiscalité dès ton installation,
- éviter les erreurs qui coûtent cher.
Tu n’as pas besoin d’être expert-comptable pour faire les bons choix — mais tu dois être informé et stratégique. Ce guide est là pour ça.
👉 Tu veux ouvrir ton cabinet de kiné libéral ? Contacte-nous pour en discuter : si tu veux être accompagné étape par étape, on est là pour t’aider à poser des bases solides et rentables.